Originaire d’Amérique du Nord, le coaching est apparu en France dans les années 1980 grâce à des précurseurs aujourd’hui de renom tels que Alain Cardon, Vincent Lenhardt et Jacques-Antoine Malarewicz. « Le métier de coach peut être défini comme une aide offerte à travers des accompagnements au profit d'une personne, d'une équipe ou d'une organisation. Cette aide vise le développement du potentiel de l'entité accompagnée à travers la préparation d'un projet ou d'une action et la résolution des difficultés rencontrées par cette entité » Vincent LENHARDT, diplômé HEC, et ancien président de l’European Association of Transactionnal Analysis (EATA).
« Le coaching en milieu professionnel est un processus d’accompagnement d’une personne ou d’un groupe de personnes au travail, dans un temps défini, qui vise le développement du potentiel de ces individus. L’intervention de coaching crée un espace où la personne peut évacuer ce qui fait obstacle à son développement, exprimer son désir et ses aspirations, développer ses atouts, acquérir de nouvelles compétences et savoirs et mettre en œuvre un plan d’amélioration de sa performance.»
Le coaching vise le développement du potentiel du coaché, cette démarche se démarque d’autres modes d’intervention en se positionnant comme une co-construction, une co-élaboration, fondée sur la puissance de la relation intersubjective. Cette démarche s’apparente à la maïeutique socratique dans laquelle le coach facilite les recherches de solution. Ce mode d’interaction m’a permis de développer des outils d’intelligences collectives et de m’approprier cette agilité en coaching d’équipe. « Savoir poser les problèmes, trouver par soi-même des solutions variées, faire progresser sa propre façon de considérer l’existence et ses diverses composantes font partie intégrante du coaching… au même titre que la philosophie ! »[1]
Le coaching aide l’homme à s’adapter à son environnement en trouvant lui-même ses solutions. « le coach offre un espace-temps de recul, de confiance et de mise en question. Dans cet espace, grâce à la relation intersubjective, il aide son client à revisiter sa « carte du monde ». Pour sortir d’un cadre de représentation « monologique », confortable mais étroit et limité, et pour envisager d’un œil neuf son problème, son environnement et sa relation à ces derniers »[2]
[1] Joël Figari, Diotime, « Coaching et philosophie », Revue internationale de didactique de la philosophie, N° 42, octobre 2009, CRDP de Montpellier
[2]Il était une fois le coaching...Sybil Persson, Baptiste Rappin , dans Humanisme et Entreprise 2013/1 (n° 311) Persson, 2008
Des pratiques éprouvées au fil des années
Des prestations sur-mesure
En partenariat avec Sandrine Linglet
Expérience
L’expérience est vecteur de changement, il est important d’en mesurer les impacts, d’examiner les différentes forces en présence et d’établir les relations de cause à effet dans le processus de transformation qu’elle génère.
Imaginaire
Si les évènements vécus modifient notre perception, les histoires que nous nous racontons à partir de ces évènements peuvent aussi contribuer à bloquer la perception que nous avons de nous-même dans ses aspects négatifs. Une redynamisation de ces histoires et un changement de point de vue permettent de réenclencher un comportement positif.
Comportement/Posture
Nous proposons d’accompagner Madame Mélanie Martin Sapone dans l’identification de ses atouts pour assoir sa posture et son assurance. L’analyse de son attitude managériale permettra l’ajustement nécessaire à son rôle de coordinatrice. Un travail sur l’estime de soi, les croyances limitantes, le langage non verbal et la gestion du stress lui sera proposé.
Volonté
La connaissance et l’assurance sécurisent l’action et permettent de mieux appréhender le changement et d’accompagner les équipes dans la coopération et ainsi d’affiner la structuration de sa mission et sa communication intelligente.
Intérêt/Envie
La vision à 360° et les valeurs supérieures du leader l’entrainent vers un sens de la conviction et une défense de sa mission qui lui permettra de manager ses collaborateurs, gérer les conflits et défendre son point de vue. La découverte et l’activation de nouveaux outils lui permettra également de rendre lisible sa mission.
Cette étude des jeux de pouvoir en coaching, bien que se voulant académique, est teintée de mes questionnements personnels et m’a permis de mieux appréhender ce champ d’interaction dynamique et en continuelle mouvance. Elle portera tout d’abord sur l’élucidation de ce que cache le mot « pouvoir » et plus précisément sur le pouvoir dans les organisations et ses mécanismes.
Dans une seconde partie, il s’agira de reconnaître, cerner et analyser le pouvoir dans les relations instaurées en coaching. La synthèse cherchera à se questionner sur les dérives menaçant la personne du coach et sur les moyens dont il dispose pour les éviter.
Le métier de coach s'apprend autant sur le terrain qu'en formation
c'est pour cela que j'ai choisi une école de renom tant par son niveau d'excellence reconnu que par la qualité de ses intervenants alternant théorie et pratique
ICN Business School à Nancy sélectionne ses élèves en coaching sur leurs expériences de vie et leurs connaissances des organisations.